Musique orchestrale
MOZART ET CLARINETTE
Salle des concerts - Cité de la musique
vendredi 14 février 2025 20h
Réserver (nouvelle fenêtre)De 20 à 26€
Le programme
MOZART
Concerto pour clarinette en la majeur, K.622
Quintette pour piano, hautbois, clarinette, cor et basson en mi bémol majeur, K. 452
Symphonie n° 38 en ré majeur, dite « Prague », KV 504
Marina Chamot, souffrante, ne pourra pas interpréter le Concerto pour flûte de Mozart lors des concerts de ce vendredi 14 février 2025 (concert du soir à 20h et concert scolaire à 10h30) à la Cité de la musique. Le concerto pour flûte K. 313 sera remplacé par le Concerto pour clarinette de Mozart en la majeur, K. 622, avec en soliste Florent Pujuila (la durée est identique à celle du concerto pour flûte : 25 minutes).
Les artistes
- Maxim Emelyanychev direction et piano
- Florent Pujuila clarinette
- Ilyes Boufadden-Adloff hautbois
- Fany Maselli basson
- Félix Roth cor
- Orchestre de chambre de Paris
À propos
Week-end Mozart, les 14 et 15 février 2025.
Ces deux concerts mettent en valeur la spécificité et la flexibilité de l’Orchestre de chambre de Paris, dont certains membres endossent un rôle de soliste dans le cadre d’un concerto ou d’une œuvre de musique de chambre.
Mozart a toujours manifesté un goût particulier pour les instruments à vent, à une époque où la plupart de ses contemporains les limitaient à la musique de plein air. Dans ses œuvres de musique de chambre, comme dans ses symphonies, il donne aux vents un rôle de premier plan. Il voue une affection particulière à son Quintette pour vents et piano (1784), apparemment la première partition pour cet effectif que peu de musiciens exploiteront par la suite. Il y fusionne l’écriture concertante avec celle de la musique de chambre, chaque instrument possédant son lot de traits brillants. À l’inverse, ses partitions orchestrales contiennent des pages intimistes, comme en témoignent le mouvement lent de la Symphonie n° 38 (1786), dite « Prague » en souvenir du lieu de sa création. Cette œuvre frappe de surcroît par son intensité dramatique, ses contrastes et effets théâtraux rappelant l’opéra. Il n’est pas fortuit qu’elle cite une mélodie des Noces de Figaro.
En attendant le concert, retrouvez ces oeuvres dans la playlist de saison
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