Le résultat est un concert original et superbe, qui va bien au-delà du cadre du liederabend traditionnel. Sur le plan musical, la cohérence est assurée puisque le programme se concentre sur deux compositeurs seulement, morts à une année l’un de l’autre, mais qu’une génération séparait : Beethoven et Schubert. Cohérence mais diversité, puisque l’on entend aussi bien des (…)
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Tu quoque mi fili
